pêle-mêle : et toc, gender et l'école, c'est non, même au sénat!

Le temps presse ce soir pour vous écrire un artcile qui tienne la route.

On ne va rien lâcher.

La défense du plus petit, du plus faible, de l'homme tout simplement, combat silencieux mais réel depuis des années, va continuer, sous toutes les formes possibles, lapremière, avec la prière, étant celle qui nous dépasse sans doute le plus: l'amour distillé au quotidien dans les actes les plus simples, cueilli à notre insu par des regards témoins, curieux, interrogatifs, sans aucune compréhension parfois, et qui seront touchés par la grâce.

Instants, moments, choix de vie où riuen ne nous appartient.

Que d'être là où nous sommes, à faire ce que nous pouvons...

J'ai bien aimé la résonance des casseroles... Un  tintamarre , rendant visible, audible, mais qui est toujours là au quotidien, muté dans un silencieux écho du quotidien. Liturgie du quotidien des familles. Le choc familier du couvercle soulevé puis redéposé dans un dernier instant de mijotage. 

C'est prêt.

Bon.

Trêve de lyrisme.

En attendant de vous mettre en ligne tout ce qui traîne sous le coude, juste une petite nouvelle: le gender dans les programmes scolaires de la rentrée, et bien c'est non.

Une petite victoire.

Le projet s'est fait retoqué au sénat ce 29 mai.

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On ne lâche rien!